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30 juin 2008
Exposition Dessine-moi un poète
Pour tout savoir et retrouver les rencontres avec les poètes ! Cliquer ici
27 juin 2008
Le soir
10 juin 2008
Maman, je t’aime !
(Pour dire à sa maman qu’on l’aime, il y a bien des façons)
La façon monstre :
C’est terrifiant comme je t’aime !
C’est monstrueux comme je t’adore !
La façon géant :
Maman je t’aime vraiment.
Prends garde à toi
que je ne t’écrase pas
Quand je te prends dans mes bras.
La façon ogre :
Maman je t’aime très fort
Je te dévore des yeux
car tu es belle à croquer.
La façon sorcière :
Approche un peu ta face
que je te fasse un bisou de limace
car je t’aime d’un amour dégoulinant.
Ecole maternelle Anne Frank
Les rimes
Je suis un élève et je rêve.
Je suis un éléphant et je dis pan pan.
Je suis un loup je fais hou hou.
Je m'appelle Gauguin
Je joue avec les dauphins
Je fais du MIR
Avec des rires.
Yamine chaabane CE1
Langevin Wallon
9 juin 2008
ON N'EST PAS N'IMPORTE QUI
Quand tu rencontres un arbre dans la rue,
dis-lui bonjour sans attendre qu'il te salue. C'est
distrait, les arbres.
Si c'est un vieux, dis-lui « Monsieur». De toute
façon, appelle-le par son nom: Chêne, Bouleau,
Sapin, Tilleul... Il y sera sensible.
Au besoin aide-le à traverser. Les arbres, ça
n'est pas encore habitué à toutes ces autos.
Même chose avec les fleurs, les oiseaux, les
poissons: appelle-les par leur nom de famille.
On n'est pas n'importe qui ! Si tu veux être tout
à fait gentil, dis « Madame la Rose» à l'églantine;
on oublie un peu trop qu'elle y a droit.
JEAN ROUSSELOT
Petits Poèmes pour coeurs pas cuits,
Ed. St-Germain-des-Prés
Vampire
Par une froide nuit
Je m'aventurai en Transylvanie
Le sombre pays
Qui abrite les vampires de minuit
J'arrivai devant un château
Celui de Dracula
Un château qui vous donne des frissons dans le dos
Un château qui m'ébranla
Et soudain mon courage
qui m'accompagnait jusque là
S'en alla en courant
Me laissant
ainsi au triste destin de la MORT!
Bouh!
un poème de Guillaume (jeune poète)
Silence de la Fée
Ton frère l’écureuil et ta sœur la chouette
Savent que tu parais dans une brume pâle…
Mais je te guette en vain sur les sources d’opale,
En vain je te tends l’oreille au plus léger soupir.
Il n’est donc plus de rêve ? il n’est donc plus de fée ?
JEAN LEBRAU (1891-1983)
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